Joël Devillet : les combats d'une vie.
«Le courage, c’est de chercher la vérité et de la dire» J. Jaurès
NRJ12 émission tv novembre 2019
Prescription 7.11.2019
7 mai 2019
LETTRE APOSTOLIQUE
EN FORME DE « MOTU PROPRIO »
DU SOUVERAIN
PONTIFE
FRANÇOIS
VOS ESTIS LUX MUNDI
« Vous êtes la lumière du monde. Une ville située sur une montagne ne peut être cachée » (Mt 5, 14). Notre Seigneur Jésus Christ appelle chaque fidèle à être un exemple lumineux de vertu, d’intégrité et de sainteté. Nous sommes tous, en effet, appelés à donner un témoignage concret de la foi au Christ dans notre vie et, en particulier, dans notre relation avec le prochain.
Les crimes d’abus sexuel offensent Notre Seigneur, causent des dommages physiques, psychologiques et spirituels aux victimes et portent atteinte à la communauté des fidèles. Pour que ces phénomènes, sous toutes leurs formes, ne se reproduisent plus, il faut une conversion continue et profonde des cœurs, attestée par des actions concrètes et efficaces qui impliquent chacun dans l’Eglise, si bien que la sainteté personnelle et l’engagement moral puissent contribuer à promouvoir la pleine crédibilité de l’annonce évangélique et l’efficacité de la mission de l’Eglise. Cela ne devient possible qu'avec la grâce de l’Esprit Saint répandu dans les cœurs, car nous devons toujours nous rappeler des paroles de Jésus : « En dehors de moi vous ne pouvez rien faire » (Jn 15, 5). Même si beaucoup a déjà été fait, nous devons continuer à apprendre des amères leçons du passé, pour regarder avec espérance vers l’avenir.
Cette responsabilité retombe, avant tout, sur les successeurs des Apôtres, préposés par Dieu à la conduite pastorale de son Peuple, et exige leur engagement à suivre de près les traces du Divin Maître. En raison de leur ministère, en effet, ils dirigent « les Églises particulières qui leur sont confiées, comme vicaires et légats du Christ, par leurs conseils, leurs encouragements, leurs exemples, mais aussi par leur autorité et par l’exercice du pouvoir sacré, dont l’usage cependant ne leur appartient qu’en vue de l’édification en vérité et en sainteté de leur troupeau, se souvenant que celui qui est le plus grand doit se faire le plus petit, et celui qui commande, le serviteur » (Conc. Œcum. Vat. II, Const. Lumen gentium n. 27). Tout ce qui, de manière plus impérieuse, regarde les successeurs des Apôtres concerne aussi tous ceux qui de diverses manières assument des ministères dans l’Eglise, professent les conseils évangéliques ou sont appelés à servir le Peuple chrétien. Par conséquent, il est bien que soient adoptées au niveau universel des procédures visant à prévenir et à contrer ces crimes qui trahissent la confiance des fidèles.
Je désire que cet engagement soit mis en œuvre de façon pleinement ecclésiale, et soit donc une expression de la communion qui nous tient unis, dans une écoute réciproque et ouverte aux contributions de ceux qui ont à cœur ce processus de conversion.
Par conséquent, je dispose :
Bernard Law
En 2002, alors qu’il avait couvert des centaines d’affaires d’abus sexuels, le cardinal Bernard Law de Boston avait trouvé refuge au Vatican pour échapper à la justice américaine. En 2015, le film oscarisé Spotlight, qui retrace l’enquête du Boston Globe révélatrice du scandale, avait fait connaître le nom du cardinal.
Pierre Pican
Pierre Pican, évêque de Bayeux et Lisieux, avait été condamné à trois mois de prison avec sursis en 2001. Sa faute ? Ne pas avoir dénoncé les agissements pédophiles, dont il avait connaissance, de René Bissey, curé de son diocèse. C’était la première fois depuis la Révolution qu’un évêque était condamné par la justice.
André Fort
En 2018, l’ancien responsable du diocèse du Loiret, Mgr André Fort, a été condamné à huit mois de prison avec sursis pour non-dénonciation d’abus sexuels sur mineurs. Il était poursuivi dans le cadre de l’affaire Pierre de Castelet, prêtre condamné à trois ans de prison pour des agressions commises en 1993.
André Léonard
En avril 2015, la cour d’appel de Liège a condamné Mgr Léonard dans une affaire de protection de pédophile «pour avoir fait preuve de passivité». Il a dû verser un dédommagement de 10 000 euros à un ex-enfant de chœur abusé de 14 à 18 ans par un prêtre de la province de Luxembourg.
Robert Finn
Mgr Robert Finn, archevêque de Kansas City-Saint Joseph dans le Missouri, aux Etats-Unis, a été condamné en 2012 à deux ans de liberté surveillée pour n’avoir pas signalé un prêtre accusé de détenir des images pédopornographiques. Ce dernier avait officié dans son diocèse de 2005 à 2009.
William Lynn
En juillet 2012, l’Américain William Lynn, un prêtre qui travaillait à l’archevêché de Philadelphie, a été condamné à une peine comprise entre trois et six ans de prison pour avoir couvert les actes pédophiles du prêtre Edward Avery, lui-même condamné en 1999.
pour son – Journal d’un évêque de campagne.
à Bruxelles:
Détails de l'événement
Et à Beauraing, le 16 février à 11H00 :
https://www.sanctuairesdebeauraing.be/event/conference-de-mgr-leonard-sur-son-livre/
Puis à la foire du livre de Bruxelles 17.02.2019 12.00 - 13.00
voir Sa retraite
Joël Devillet est né dans la ville d'Arlon...
Le prêtre abuseur de Joël Devillet réside dans le doyenné de Saint-Hubert...
(9 janvier) dans Sud-Presse (p. 11) :
Un film sur la pédophilie tourné dans nos églises
En avril 2018, François Ozon, le réalisateur français, tournait plusieurs scènes de son dernier film à l’église Saint-Martin d’Arlon et dans la basilique de Saint-Hubert.
Un film dont le véritable synopsis fut caché à tout le monde. Il s’avère aujourd’hui que le film traite de la pédophilie au sein de l’Église en se basant sur des faits réels jugés en France pour le moment. Intitulé « Grâce à Dieu », il sortira en février prochain. … Contacté par téléphone, l’abbé Goosse, de Saint-Hubert, se dit heurté par la pratique du réalisateur français. Dans le synopsis reçu, il était question du portrait de trois personnes ayant été abusées dans leur jeunesse mais sans plus de précisions. « Ce n’est pas honnête ! Je ne comprends pas pourquoi la réalisation n’a pas joué franc jeu. On reproche souvent à l’Église de ne pas l’être… Les choses qui se sont réellement passées sont graves mais pourquoi ne pas avoir présenté convenablement le synopsis du film ? Mon collaborateur présent sur place m’avait assuré que rien d’irrespectueux n’avait été tourné. Si on m’avait présenté la véritable histoire ? Si c’était pour rendre service à la vérité, je ne m’y serais pas opposé. Mes seules prérogatives étaient qu’il n’y ait rien de contraire à la foi chrétienne et que rien ne choque la sensibilité religieuse des membres de l’Église. La manière de faire est déplorable. »
Le nouveau film de François Ozon traite de faits de pédophilie au sein de l'Eglise. La basilique de Saint-Hubert et l'église Saint-Martin à Arlon ont été investies par les équipes de tournage du réalisateur français. Reportage de Sébastien Prophète et Emmanuel Tallarico.
Grâce à Dieu fait référence à une affaire traitée en ce moment devant un tribunal français. C’est l’histoire de trois victimes de faits de pédophilie au sein de l’église.
"C’est une réalité malheureusement et on sent à travers l’expression des trois hommes une profonde souffrance", réagit Philippe Goose, doyen de la basilique de Saint-Hubert.
Pas de surprise pour le doyen de la basilique de Saint Hubert. En avril l’an dernier, le réalisateur français François Ozon choisit la basilique comme lieu de tournage durant une journée.
"Il n’y a rien dans la bande-annonce qui ne respecte ce qui a été convenu avec la Basilique au moment du tournage du film. J’avais demandé vraiment que le culte soit respecté, qu’il n’y ait pas d’actes qui puissent scandaliser les paroissiens et les croyants".
"Nous savions que le film allait aborder la remise en question d’un homme de 40 ans", explique la Présidente du conseil de fabrique de l’église d’Arlon, choisie elle aussi par le réalisateur. Le doyen savait-il que la pédophilie au sein de l’église est le thème abordé par le film ? Pas de réponse à cette question. "C'est important de dire que la vérité doit être faite, que l'on ne doit plus cacher ces choses-là. Ce n'est pas uniquement l'Eglise qui a caché, on le voit dans le portrait des deux mères que l'on voit dans la bande-annonce, c'était des choses dont on ne parlait pas", ajoute le doyen
Mgr Léonard, un évêque dans le siècle
Parution septembre 2016
a été condamné en appel en avril 2015...
ce livre contient 3 pages où ils parlent de la pédophilie dans l'Eglise, pas un mot sur la condamnation sa condamnation. Pas grave, il est pardonné.
je préfère cet évêque à d'autres qui aiment les honneurs et la mondanité... oui les pauvres et les migrents mais avec caméras pour ces prélats.